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Journal d'une taupine - Quand la mouette part en taupe...
22 mai 2011

Lemme 40 :

Un instant avant d'aller replonger la tête sous l'eau...

Voilà ici un article que je viens de lire sur les marocains en grande école (oui, dit comme ça, ça sent le cliché très fort), qui n'apprendra pas grand chose à ceux d'entre vous qui sont déjà en prépa ou en école d'ingénieur, mais qui est d'une grande justesse assez intéressant.

Sinon, on m'a demandé des nouvelles des épreuves de MP. L'épreuve de Physique-chimie de Centrale qui avait fait beaucoup de bruit à cause de ce qui s'était passé à Nice a finalement été rattrapée le samedi 14 Mai dans l'après-midi. Apparemment, il y avait de la radioactivité (au programme du lycée, mais pas de la prépa). Les souvenirs du sujet de CCP, lui aussi sur la radioactivité, ont beaucoup aidé ces malheureux...

L'épreuve de SI de Mines-Ponts a, quant à elle, été rattrapée le dimanche 15 Mai dans l'après-midi. L'internat de Faidherbe a été exceptionnellement ouvert lors de ce week-end.

Ah, et sinon, il faudrait que je commence ma fiche synoptique. Bordel.

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Commentaires
J
Je dois avouer que ces points sont en effet très mis en valeur. Mais tu remarqueras que, lorsque les néophytes (et surtout les journalistes !) parlent de la prépa, c'est toujours un monde où on bosse sans arrêt, une prison, un enfer...<br /> En effet, travail et réussite ne sont pas toujours corrélés, mais admettons que les élèves dont le talent est assez élevé pour qu'ils puissent avoir de très bons résultats sans trop se fouler sont assez rares pour qu'on n'en parle pas trop. Quant à ceux qui sont "moyens" (ie ni premiers de la classe, ni au fond du classement) et qui ne passent pas leur vie sur leurs classeurs, ils sont en effet très nombreux (j'en fais plus ou moins partie...).<br /> <br /> Ce que j'apprécie dans cet article, en fait, c'est que pour une fois, ce n'est pas "l'enfer de la prépa" qui est mis en valeur, mais "la réussite après/grâce à la prépa", qui montre que nous ne sommes pas des masochistes qui nous "enfermons" deux/trois ans pour "rien" (même si, à mes yeux, les bons moments parmi les deux années que j'ai vécues suffisent bien à justifier tout le travail qu'il y a eu autour...).<br /> <br /> Merci, cependant, d'avoir nuancé ce point. =)
M
Je trouve que l'article met beaucoup trop en avant les côtes chiants de la prépa ("la prépa un long marathon" "ils (les candidats futurs X ou HEC) se doivent d'être méthodiques, efficaces, rigoureux"...), même si c'est pas faux, la prépa c'est quand même pas aussi austère que ce qu'ils décrivent.<br /> D'ailleurs il me semble que beaucoup de ceux qui réussissent le mieux ne sont pas ceux qui travaillent le plus... Et même en milieu de classe il y a des gens qui foutent pas grand chose et qui s'en sortent pas trop mal.<br /> Voilà, juste pour contredire un peu<br /> <br /> mat
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